Labess, de son vrai nom Nedjim Bouizzoul, fait partie de ces rares artistes carburant au voyage, à la bohème musicale comme muse.
Avec son jeu de guitare fougueux et sa voix percutante, Nedjim avait ébloui, en septembre dernier, à l’Olympia, en première partie de Salif Keita, le rossignol malien.
La musique que transporte le groupe Labess traverse les frontières et les époques, de l’Espagne à l’Afrique du Nord, parfait amalgame de flamenco, rumba et rythmes du Maghreb.
L’artiste vient d’ailleurs de clore une tournée dans l’Hexagone en mars et s’amène dans la métropole pour une rare série de concerts.
Il s’agit d’un rendez-vous à ne pas rater !