Test de la bouteille d’eau connectée LARQ

Conçue en Californie et fabriquée en Chine, la bouteille d’eau auto-nettoyante de LARQ permet d’éliminer jusqu’à 99,9999 % des bactéries et virus nocifs et odorants grâce à au rayonnement ultraviolet (UV-C). On l’a essayée.

La principale qualité de cette bouteille est de rendre l’eau pure (on y reviendra sur le comment), mais elle permet également de conserver la froideur pendant 24 h grâce à une double isolation ou la chaleur (douzaine d’heures).

Le contenant proprement parlé est en acier inoxydable qui s’autonettoie également grâce à la même technologie.

Selon la compagnie, elle est 10 000 fois plus hygiénique que les bouteilles réutilisables classiques, ce qui peut être un grand plus au moment où la question environnementale se pose de plus en plus.

D’ailleurs, l’entreprise assure qu’elle est donc «respectueuse de l’environnement».

En l’occurrence, en plus des milliers de bouteilles plastiques évitées, une partie des bénéfices est reversée à l’organisme 1 % for the planet, et ce, pour « servir la protection de l’Environnement et apporter de l’eau portable au plus grand nombre».

Le fonctionnement

Il y a donc la bouteille et le bouchon, dans lequel on retrouve l’élément de purification, une D.E.L. UV-C, ainsi qu’une entrée de recharge USB standard (pour la batterie, au lithium).

Sur le dessus du bouchon, il y a un bouton. Grosso modo, une charge complète permet d’utiliser sa bouteille pendant plus d’un mois.

Afin d’obtenir de l’eau pure, il suffit d’une simple pression sur le bouton du bouchon et alors, la bouteille élimine en 60 secondes jusqu’à 99,9999% des bactéries nocives et responsables des mauvaises odeurs, et ce, sans ajouter de produits chimiques.

Cette technologie est assez couramment utilisée en milieu hospitalier pour stériliser, désinfecter, ou contrôler l’odeur.

Pour cela, une lumière ultraviolette (UV) avec une longueur d’onde d’émission de 280 nm est utilisée. De plus, toutes les 2 h, la lumière purifie, et l’eau et la surface interne.

En d’autres mots simples, elle tue les micro-organismes en visant particulièrement leur ADN. Rappelons que les rayons UV ne sont pas perceptibles par l’oeil humain.

S’il est difficile pour nous de prouver que 99,9 % des virus ou des bactéries ont été tués véritablement, toujours est-il qu’après plusieurs d’utilisation sans nettoyage, il n y avait ni odeur ni accumulation de quelque soit. De son côtés, la compagnie assure d’essais concluants contre le E. coli, notamment.

Selon le mode en cours, le bouchon de la bouteille s’allumera ou non. Qu’il soit en charge (vert clignotant), chargé (vert fixe), en purification et nettoyage (selon le mode normal – bleu ciel – ou aventure –bleu foncé), protection de sécurité (orange clignotant), batterie faible (jaune fixe) ou gros problème (rouge clignotant).

Il est important de préciser qu’il y a simplement….aucun bruit ! Rien. Nada.

Vendue 125 $, la version qu’on a testée est celle de 500 ml (17 oz), couleur Monaco Blue, et est relativement correcte pour étancher sa soif, lors d’une petite excursion ou dans la journée au travail. Un format de 25 Oz serait sans doute plus approprié pour les randonnées et autres sports un peu plus ardus.

Sans bisphénol A (BPA) et même sans mercure, la bouteille LARQ mesure 9,6 pouces (243,7 mm) de hauteur sur 2,7 pouces (69 mm) de largeur et pèse 13,5 oz (0,38 kg, ce qui est quand même un peu lourd). Elle aussi disponible en rose himalayenne, noir obsidienne, granite blanc et menthe bord de mer.

En résumé

On a adoré :

  • Le design de la bouteille
  • Le mode aventure qui permet de purifier de l’eau non potable
  • Le fait de purifier l’eau et le contenant aux deux heures

On a moins aimé

  • Le poids et le faible volume
  • L’absence d’un rappel qu’il faut boire
  • L’absence d’un affiche de la température

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