Le « jazzman » et artiste multidisciplinaire d’origine tchadienne Djim Radé vient de sortir un tout premier album, lancé dans le cadre du mois de l’Histoire des Noirs.
Lancé au Ministère, le premier opus de Djim Radé est composé de 11 titres. Il s’ouvre sur le titre Gang Doh et se referme avec la chanson Taryam. Dans les bons coups, soulignons la puissante ballade Koum, les titres Mila ou Nandoubé.
Paru sous l’étiquette Pachamama (Italie) en janvier dernier, ce projet a pour objectif de « créer une véritable célébration de la culture noire », explique-t-on dans un communiqué présentant l’album de celui qui est installé à Montréal depuis 2021. Avant cela, il a étudié le jazz à l’Université Jean-Jaurès et la guitare au Conservatoire National de Toulouse.
« La ville et la scène culturelle montréalaise sont sincèrement accueillantes et je m’y suis senti tout de suite chez moi, ce qui rend l’endroit rassurant et tout indiqué pour lancer cet album », a confié le principal intéressé.
De son vrai nom Djimradé Kamndoh, Djim Radé est à la fois musicien, guitariste, chanteur, auteur-
compositeur, arrangeur et interprète. Au Québec, avant de se mouiller avec ce premier projet personnel, il a collaboré avec plusieurs artistes d’ici.
