Karim Diouf, un artiste qui vit son Sénégal

De retour sur l’avant-scène avec un album, Adouna, qui a fait le tour des salles au Québec, Karim Diouf a été choisi pour assurer la première partie d’Angélique Kidjo, au Festival international de Jazz de Montréal. Touki Montréal a rencontré l’artiste, qui reste engagé et profondément africain, malgré les années.

Karim-Diouf« C’est un honneur de partager avec Angélique Kidjo la même scène et de faire sa première, confie d’emblée l’artiste québégalais. Dès que çà été proposé, j’ai sauté sur l’occasion. La partager avec elle, ça va être quelque chose. »

«Garder la Teranga sénégaise»

L’ex-Colocs  ne revient pas au Festival de jazz les mains vides. Son album Adouna, qu’il a pris le temps de faire, est dans les bacs depuis 2013.

L’accueil du public a été positif, confie le Sénégalais, plus que jamais Québégalais.

« Quand tu fais quelques choses de très engagé et qui va toucher le monde, c’est toujours mieux de bien le faire », explique-t-il. D’autant que sa nouvelle maison de lui a donné carte blanche.

Celui qui n’a pas oublié d’où il venait n’hésite à distiller des conseils aux gens de la diaspora. « Ce qu’il faut garder du Sénégal, c’est vraiment la Teranga ».

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