Test du pichet d’eau PureVis de Larq

Après sa bouteille d’eau, l’entreprise américaine Larq a tenté un pari audacieux en concevant un peu le pichet d’eau du futur, soit le Pitcher PureVis, qui comme les bouteilles est doté d’une technologie UV pour filtrer l’eau. Verdict après quelques mois d’utilisation.

Convaincu par le précédent modèle, on a tout de suite été séduit par l’idée d’une carafe d’eau permettant à toute une famille de toujours avoir à portée de main de l’eau désaltérante et surtout exempte de virus et batterie. Il a d’abord fallu attendre un peu que le projet aille à terme et que suffisamment d’exemplaires soient disponibles sur le marché.

Au final, la famille raffole à l’idée de prendre un bon verre d’eau dans le pichet PureVis de Larq, particulièrement cet été où la chaleur et l’humidité n’ont pas dit leur dernier mot.

Lorsqu’on ouvre la boîte la première fois, on y découvre la carafe (en polymère sans BPA/BPS), le système de filtration, un câble de recharge et la documentation, qu’il faut lire au moins une fois pour comprendre le fonctionnement du produit.

Pesant un peu plus de 1020 g (36 onces), la carafe mesure environ 23.62 x 25,4 cm (9,3 x 10 pouces) pour un volume de 1,9 l. En des mots plus simples, elle permet d’avoir 8 tasses ou (64.2 oz). Il faut environ 1h pour recharger complètement le système de filtration qui pourra fonctionner pendant près d’un mois.

Chaque filtre a une durée d’utilisation suggérée de 60 galons ou de deux mois environ.            

Le premier constat, c’est que le produit n’en est pas un forcément abordable. Il faudra débourser quelque 174 $ pour détenir une carafe PureVis de Larq. Deux couleurs sont disponibles : le bleu Monaco et le blanc. Esthétiquement, c’est une très belle carafe qu’on a pas honte de présenter à ses invités. Bien au contraire !

Sur la table, l’eau filtrée est franchement éclatante et même rafraichissante. Plus que boire l’eau, il est aussi possible de s’en servir pour faire du café, du thé ou des smoothies, notamment.

Le principe est qu’en à peine 29 jours, le système ait pu freiner quelque 770 000 batteries. Pour ce faire, l’entreprise utilise un système de purification et de filtration en deux étapes.

D’abord, il y a le filtre décrit comme « unique » et fait de plantes qui élimine le plomb, le chlore, le mercure, le cadmium, mais aussi les COV, les particules, l’amiante, l’arsenic, le fluorure et les benzènes.

Par la suite vient la technologie brevetée PureVis qui empêche la croissance de biocontaminants et qui consiste essentiellement en une technologie de lumière UV-C.

Pour savoir si le système fonctionne, il faut constater qu’une lumière bleue clignote dans le pichet. Quand le voyant est orange, c’est alors le temps de remplacer le filtre.

Pour les usagers sous iOS (Apple), il est possible de profiter d’un suivi de la durée de vie du filtre afin de savoir exactement quand changer votre filtre. Le mode autonettoyant du LARQ Pitcher se met en branle toutes les 6 heures pendant 15 secondes.

En résumé

On a aimé

  • Le design magnifiquement réussi,
  • filtres rapides,
  • La taille du pichet
  • Ses fonctions autonettoyantes
  • La qualité et le bon goût de l’eau
  • Le système du cap pour remplir le pichet

On a moins aimé

  • Le poids de la carafe
  • Le prix un peu onéreux

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